Les Couloirs de l'Espoir: La victoire de la volonté sur l‘adversité. Un thriller euphorisant. (2021)

Une jeune orpheline touche le fond dans une famille d’adoption qui se déchire, mais trouve, grâce à la natation, l’énergie et le courage de transformer sa vie.

Thierry Boyer, médecin Parisien, a passé beaucoup de temps dans le Sud où se déroule une grande partie de son roman. Il aime, dans l’écriture, échapper au cartésianisme hérité de sa formation, et emmener le lecteur à la frontière du réel et de l’imaginaire. Dans les « Couloirs de l’Espoir » une petite fille disparaît sur une autoroute au cours d’un accident. Comme dans une histoire vraie relatée par la presse, ses parents la faisaient voyager dans son landau sur le toit de leur voiture ! Quelques heures plus tard, on découvre dans une maternité espagnole un bébé abandonné. L’enquête, pourtant menée par une commissaire motivée ne permet pas de déterminer l’origine de l’enfant qui finit par être adopté par une famille marseillaise. Malheureusement, le destin réserve parfois de mauvaises surprises : le couple ne résiste pas à la tragédie qui le frappe et entraîne Victoria dans son malheur. C’est grâce à la natation et à une détermination hors du commun que la petite fille, devenue grande et superbe, reprend espoir et réussit à changer le cours de sa vie.

Ancien sportif, l’auteur, nous fait partager dans ce thriller euphorisant et plein de suspens les émotions que la compétition et la victoire procurent. 

Avis des lecteurs

Je termine à l’instant les Couloirs de l’Espoir ! J’ai beaucoup aimé ce joli conte, dont la chute, qui n’a rien à envier à l’ensemble de la narration m’a fait beaucoup rire !! Quel esprit ! On ne s’ennuie pas un instant. - Babette L.
Cette quête de l’origine m’a presque tiré des larmes. C’est sensible et bien écrit. - Jean D
J’ai passé un très bon moment. Le roman se lit facilement, avec une intrigue bien menée, combinée à une grande richesse d’observation et d’analyse. Félicitations pour le talent littéraire. - Marc G.
Je suis bluffée. - Malvine P.
Quel thriller et « page turner ». Très sympa, dense et vraiment bien construit selon le découpage classique des thrillers US. J’ai apprécié la précision des repérages marseillais et parisiens. La scène de la « Châtelaine » est particulièrement savoureuse. - Antoine P.

Extrait du roman

Août 2006

Comme tous les ans, le premier août exactement, les Da Costa sont partis rejoindre leur famille dans le nord du Portugal. Manuel et Maria ont rempli leur voiture autant qu’ils le pouvaient et attaché deux valises et un landau sur le toit. Ils roulent depuis l’aube sous une chaleur torride à peine atténuée par la climatisation poussive de leur vieille Seat Cordoba. Angéla, la petite dernière, hurle depuis des heures et les deux aînés ne tiennent pas en place.
Manuel n’en peut plus, sa tête va éclater.  Il a une idée. La plus mauvaise idée de sa vie.
— Dis, Maria, on pourrait la mettre dans son landau sur le toit la petite, elle aurait moins chaud et on aurait un peu la paix.
— Non, mais tu es dingue ! S’il tombe, tu imagines !
— Ne t’en fais pas, il est bien fixé et Angéla ne risque pas de se sauver.  De toutes façons, avec les bouchons, on ne va pas aller bien vite. Je ne peux pas continuer à conduire avec ce raffut, c’est au-dessus de mes forces.
— Bon, essaie si tu veux dit Maria épuisée. 

Ils le regretteront toute leur vie

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