Je peux très bien me passer de toi: Je peux très bien me passer de toi, T1 (2015)

Chloé - 28 ans, parisienne sexy, consultante - est accro à son ex, fiancé à une autre, et aux histoires d’un soir.
Constance - romantique en friche de 27 ans coincée dans le No Sex Land depuis 29 mois - rêve de travailler pour la branche Pastries Tea and Desserts de Grable & Smith en Angleterre, mais s’occupe actuellement de celle des serviettes hygiéniques à Paris.

Le lendemain de la Saint-Valentin, les deux copines se lancent un défi. D’ici le 30 juin, Constance devra :
1 - coucher le premier soir avec un inconnu ;
2 - tenter de séduire Tristan, qu’elle n’a pas revu depuis un an, au mariage de son cousin.
Quant à Chloé, elle s’engage à :
1 – démissionner de son boulot dans les trois mois pour écrire le roman dont elle rêve ;
2 – rester abstinente jusqu’à la fin du semestre.

Pour aider Chloé à s’éloigner des tentations de la vie parisienne et à trouver l’inspiration, Constance demande à son Tonton Gonz de l’héberger à Marinzac, un trou perdu dans les vignes bordelaises, pendant six mois. De son côté, Constance part à la recherche de la femme glamour qui doit bien sommeiller quelque part en elle sous la provinciale coincée…

J’ai lu « Je peux très bien me passer de toi » rapidement et avec plaisir. J’ai retrouvé l’humour de « Ma vie, mon ex et autres calamités », le style fluide et imagé de Marie Vareille, qui permet de s’immerger dans les décors tant parisien que provincial de son histoire. L’intrigue est convaincante, les personnages attachants.

J’ai ressenti une fois de plus la sincérité et la générosité de l’auteur, sa volonté de partager un vécu, des valeurs et des rêves avec le lecteur. Ce deuxième roman de Marie Vareille devrait plaire à tous les amateurs de comédies romantiques qui cherchent une bonne histoire à dévorer pendant un week-end pluvieux, un trajet en métro ou encore un après-midi à la plage !


5/5