Les faits sont les faits (2017)

Editeur: Hades éditions (6 juin 2017)
Pages: 100 pages
Format: ePUB, PDF, Doc, TXT, MP3, KINDLE, FB2
Langue: Français
Descriptions de livres
Cet ouvrage ne plaira pas à de nombreuses personnes car il fait vibrer une corde extrême-ment sensible: l'origine des peuples. En effet, ce texte remet ''littéralement'' en cause l'origine de la plus ancienne des civilisations: celle du peuple hébreux (rien que cela!). Dans ses différentes fonctions au service des intérêts sionistes, Benjamin H. Freedman eut l'occasion d'avoir un grand nombre d'entretiens personnels et approfondis avec sept présidents des États-Unis. Il fut témoin, et même acteur, des manipulations dans la politique internationale et dans les médias. Il fut l'ami personnel de nombreux acteurs politiques (Bernard Baruch, Samuel Untermyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy, et John F. Kennedy). Benjamin H. Freedman était très riche (étant le principal actionnaire de l'immense compagnie des savons Woodbury) et disposait d'un carnet d'adresses exceptionnel: ce sont sans doute les raisons qui l'ont maintenu en vie, et parallèlement, les raisons qui l'ont poussé à écrire une série d'ouvrages explosifs. Après la Seconde Guerre mondiale, Freedman, éoeuré par ce à quoi il avait assisté, décida de révéler tout ce qu'il pourrait sur le sionisme et ses origines, sujet qu'il connaissait parfaitement, étant lui-même Juif et ancien sioniste. Il rompit avec ses idéaux et fonda en 1946 la ''Ligue pour la Paix et la Justice en Palestine; puis passa le reste de sa vie, et une grande partie de sa fortune considérable, à lutter contre ce qu'il nommait ''la tyrannie sioniste'' qui enserrait le monde. Il consacra à cette activité plus de 2 millions et demi de dollars, tirés de son portefeuille personnel.

Commentaires

J'avais déjà lu, il y a fort longtemps, le livre d'Arthur Koestler, la 13ème tribu, et depuis plusieurs autres ouvrages sur le peuple Khazar, ethnie caucasienne turcophone dont l'empire s'insérait, grossièrement, entre 3 mers : Mer Caspienne, Mer Noire, Mer d'Aral (presque disparue à cause de la culture du coton au Kazakstan et du détournement de plusieurs cours d'eau qui l'alimentaient, sous l'ère soviétique), peuple gouverné par des Khans guerriers, et qui eu la curieuse idée de se convertir au judaïsme pour résister aux puissances rivales, politiquement et religieusement de l'Empire Romain d'Orient, chrétien, et au nouveau rouleau compresseur de la conquête musulmane, qui s'était emparé de l'Anatolie et menaçait déjà l'empire Bulgare.La thèse, largement acceptée maintenant par des historiens juifs eux-mêmes est que les 92/94 % d' Askhénazes (malgré l'holocauste !) qui constituent les populations juives d'aujourd'hui sont les descendants, poussée vers l'Europe Orientale et Centrale après la chute d'Empire Kazhar, détruit par les Russes, les Tatares et les Bulgares, des juifs caucasiens (non sémites, donc!) convertis à la suite de leurs khans.Le reste de la population de religion israélite étant même constitué de berbères passés au judaïsme (voir l'épisode célèbre de la Kahina !) par des rabbis très convertisseurs à l'époque, en concurrence évangélique avec les missionnaires des différents christianismes, passés en Espagne avec le s troupes Berbères d'Al Tariq, très récemment converties à l'Islam sunnite.Mais alors, quid des anciens Hébreux ?(les Apirus ou Abirus, comme les surnommaient par dérision les Egyptiens pharaoniques, c'est à dire les "Poussiéreux", car tribus barbares errantes sorties des déserts arabiques, rodant aux confins du Delta ou employées sous contrats ou par contrainte pour l'édification des forteresses et capitales des Ramses (Piri Reis etc..) De fait, les anciennes peuplades des royaumes détruits d'Israël (au Nord,puissant) et de Juda (au Sud,insignifiant,mais qui recueillit les débris des populations du royaume du Nord, détruit plus tôt, et put ainsi imposer un seul Temple, fiscalement plus intéressant ! - très mélangées du fait des pratiques de "chaises musicales des peuples" que pratiquaient assidument les Assyriens et les Babyloniens pour avoir la paix en leur empire, en coupant les racines historiques des habitants.Les Anciens Hébreux, disais-je, pour autant qu'il en subsistât, sont les actuelles populations palestiniennes chassées par la Nakba de 1948, qui furent successivement converties au premier Catholicisme Byzantin, puis au Catholicisme Romain avec les Croisades, enfin à l'Islam de la conquête Arabe, tout cela avec des influences subsistantes de Paganisme Greco-Romain, et du Zoroastrisme Persan, que l'on retrouve encore aujourd'hui chez lez Yézidis, les Kurdes et bien d'autres variantes religieuses.Bref, un bon bouquin, mais un peu vieilli, qui ne m'a rien appris de réellement neuf sur des vérités historiques désormais bien établies et presque banales...


5/5

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